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Famille du Chevalier Goybet

Le rève brisé de Lawrence avec la prise de Damas par Mariano Goybet

LE REVE BRISE DE LAWRENCE
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En Aout 1888 naissance de Thomas Edward Lawrence
Il découvre l’imaginaire chevaleresque et arthurien à travers Walter Scott , Alfred Tennyson et Malory

Il voyage en France pour étudier l’architecture féodale (1906), est admis à l’université D’Oxford en 1907 En 1908 il part infatiguable en Palestine et en Syrie pour 1700 km à pied pour étudier les.chateaux des Croisés. Sur ce sujet , il soutient sa thèse en 1910.
De 1911 à 1913 travaux archéologiques pour le Britisch Museum, sous la direction de Hogart, en Syrie. Il apprend l’Arabe , écrit un roman qui porte déjà le nom « Les sept pilliers de la sagesse » allusion aux sept grandes cités du monde Arabe. Il entretient des contacts avec les nationalistes Arabes.

Aout1914 , il est volontaire et se fait affecter à la section géographie de l’Etat Major général, couverture de l’intelligence Service . En Decembre il est affecté au Caire à l’Arab bureau avec le grade de Lieutenant
1915, la France et la Grande Bretagne négocient les zones d’influence respectives des deux puissances en cas de partage de l’empire ottoman. Cet accord provisoire et secret aboutit et sera désigné par le nom des deux négociateurs : Sir Mark Sykes et François Georges-Picot.
À cette époque, la Grande Bretagne, craignant des troubles ou même une éventuelle sédition parmi ses sujets musulmans en Égypte comme en Inde, commence à concevoir une politique musulmane dans l’empire ottoman, avançant même le thème de l’indépendance arabe, toutefois sous la forme d’un contrôle européen indéfini, source de tous les malentendus à venir. Cette idée se heurte dans l’immédiat aux ambitions impériales françaises dans la région avant de rencontrer plus tard l’opposition des peuples arabes refusant l’indépendance sous tutelle étrangère. En attendant, une correspondance s’établit, dès 1915, entre sir Henry MacMahon et le Shérif Hussein du Hedjaz, et les négociations sur le terrain engagent l’Angleterre par écrit à « reconnaître et soutenir l’indépendance des Arabes à la condition qu’ils se révoltent contre la Turquie », mais obtiennent de repousser, jusqu’à la fin de la guerre, les négociations relatives au tracé des frontières.
Contre cette promesse de principe, le Shérif Hussein doit donc lancer l’appel à la révolte arabe contre les Ottomans :

ce qu’il fera le 5 juin 1916, se proclamant, dès novembre 1916, « Roi des Arabes », bien que les puissances ne lui reconnaissent que le titre de « Roi du Hedjaz ».
Le Colonel Lawrence, membre du Bureau arabe du Caire le 18 Octobre 1916 escorté de deux bédouins arrive en chameau à Hamra ou Faycal l’attend «

"c’était, je le compris au premier coup d’œil, l’homme que je cherchais en Arabie , le chef qui dresserait la révolte Arabe en pleine gloire ».

. En Décembre au Caire son plan de révolte est approuvé par le General Allenby, nouveau commandant en Chef.
Il accompagne les troupes de l’Emir Fayçal, fils du Shérif Hussein, comme officier de liaison et fournisseur de l’or anglais. Dès ce moment, les deux hommes seront liés pour un temps à un destin exceptionnel et seront considérés, sous le commandement militaire du général anglais Allenby, comme l’image emblématique de la révolte arabe.


- 5 juillet 1917 , des bandes de bédoins conduites par Faycal que conseille Lawrence s’empare D’Akaba. Avec seulement quelques milliers de bédoins Arabes dépourvus de moyens lourds , lawrence parviendra à neutraliser quelques 50000 Turcs..Lawrence qui a traversé le désert du Sinaï pour annoncer sa victoire est accueilli au Caire en Heros. Prise de Roum en Septembre et d’Azrak en Novembre. Le 20 novembre , Lawrence capturé par les Turcs est torturé ; il s’évade.
- 23 février 1918 Lawrence félicité par Allenby pour la prise de Tafila éprouve des inquiétudes pour l’avenir. « Je me suis lançé de tout mon cœur dans cette affaire Arabz et j’ai fait naufrage. »..

-1er Octobre , prise de Damas ou Lawrence entre aux cotés de Faycal. A Damas . Il est promu au grade de Colonel . Il bénéficie d’un immensse prestige , qualifié abusivement par le who’s who de « prince de la Mecque ». Ce prestige pesera peu face à l’intérêt des puissances. Il avait fait l’impossible pour que les Arabes liberent eux-mêmes la Syrie , afin de mettre les alliés devant le fait accompli. En vain c’est à coups de canon que la Division Française du General Goybet viendra chasser Faycal de Damas.

L’entrée des troupes anglaises le 1er oct. 1918 à Damas, puis celle de Fayçal le 3 oct., est humiliante pour la France après plusieurs siècles d’influence et de protectorat religieux au Levant. Cette victoire anglaise qui réveille de vieux antagonismes entre les alliés de la veille est due à la présence sur le terrain d’une force militaire considérable, un million d’hommes, qui témoigne de l’ampleur de l’engagement britannique en Orient, contre de maigres effectifs entretenus par la France dans la région.

Quoiqu’il en fut, Allenby et Fayçal se rendirent le même jour à Damas le 3 octobre, et firent connaissance à l’hôtel Victoria en présence de Lawrence. Un jour auparavant, soutenu par les nationalistes et politiciens damascènes locaux, Ali Riza Rikaby avait repris le contrôle du gouvernement militaire arabe des mains de Choukri Pacha al-Ayoubi, proclamé gouverneur provisoire deux jours auparavant. On avait alors hissé le drapeau chérifien et la nouvelle administration arabe avait proclamé son allégeance à Hussein en tant que roi de tous les Arabes.

- 11 Novembre 1918, retour de Lawrence à Londres ou il propose la création de 3 royaumes Arabes ; la Syrie serait attribuée à Faycal.
- 8 Janvier 1919 Conférence de Paris ou Lawrence assiste Faycal. Les promesses faites aux arabes se heurtent aux intérèts Franco-Britanniques pour le partage du Proche Orient. Pour protester en Mars Lawrence décline l’honneur de recevoir l’ordre du bain.

Durant l’absence de Faysal en Europe s’occupant à défendre en vain les intérêts arabes contre la détermination française, abandonné par ses alliés britanniques, son pouvoir en Syrie avait faibli. Les critiques contre lui devenaient virulents, surtout après l’accord Fayçal-Clémenceau à Paris le 9 janvier 1920.
Débarrassée de son allié rival britannique, la France a les mains libres sur le terrain. Sa politique en faveur de la création d’un grand Liban, ainsi que sa volonté de contrôler l’ensemble de la Syrie, rend inévitable à terme la confrontation avec Fayçal. Le 8 octobre 1919, le général Gouraud est nommé Haut-commissaire en Syrie-Cilicie, et les troupes françaises commencent à relever les Britanniques au Liban et sur le littoral syrien.


À partir de cette date, la situation se dégrade en Syrie et les nationalistes radicaux décrètent la mobilisation générale. Le 8 mars 1920, le Congrès arabe réuni à Damas, rejetant les accords Fayçal-Clémenceau, proclame unilatéralement l’indépendance et la création d’un royaume arabe Syrien dans ses frontières naturelles, y compris la Palestine, et Fayçal comme roi de Syrie. Mais en avril 1920, la conférence de San Remo en Italie, confirmant les accords Sykes-Picot modifiés (accords sur les pétroles), donne à la France les mandats sur le Liban et la Syrie, à l’Angleterre les mandats sur la Palestine, la Syrie du sud (Transjordanie) et l’Irak.

La tension est à son comble en Syrie et au Liban, les incidents se multiplient. Le 14 juillet 1920, le général Gouraud lance un ultimatum à Fayçal. Le 24 juillet 1920, la colonne française commandée par le général Goybet marchait sur Damas. Elle comprenait d’importants effectifs : infanterie constituée surtout de bataillons et de régiments sénégalais et marocains, batteries de 75 et de 155, sections d’auto-canons et d’automitrailleuses, deux formations de chars d’assaut, des compagnies de génie, de l’aviation ainsi que des éléments de réserve.

- En 19 Lawrence rédige aussi son fameux livre « les 7 piliers de la sagesse. »
- En 21 Il est nommé conseiller aux affaires Arabes par Winston Churchill et s’engage plus tard dans la royale Air Force comme simple soldat voulant ostensiblement rentrer dans l’anonymat malgré son immensse popularité.. En 1935 il est victime d’un accident de moto et en décede à 45 ans..

Avec lui dira Churchill, on se sentait « en présence d’un être extraordinaire dont les réserves latentes de force et de volonté étaient au dessus de toute mesure et il ajoutera « Je n’ai jamais rencontré son pareil ». A 30 ans , il est déjà connu sous le nom de « lawrence d’Arabie » héros national en 1918.

Les écrits , mais aussi les actes de celui qui contribua de manière décisive au réveil Arabe, nous fournissent des pistes assez nettes pour l’appréhender. Comme d’autres, avant lui, Lawrence est fasciné par l’Orient, la vie libre des Bédouins et la nudité du désert.
Or ce n’est pas pour autant à une quête mystique analogue à celle d’un Charles Foucault qu’il s’est consacré. Il a davantage cherché à trouver en lui-même la vérité ultime de son être débarassé de tous les artifices de la civilisation. Si l’appel du désert est irrésistible pour certains penseurs de la ville « ils n’y trouvent pas Dieu…….mais ils entendent plus distinctement dans la solitude le verbe vivant qu’ils apportent avec eux. »
Il est désormais loin le temps ou ses compagnons d’armes étaient des « etres nobles et ensoleillés que n’avaient pas encore glacés l’ombre du monde , les mieux nés et les plus enviables que j’ai connus …. » des hommes avec lesquels il a imaginé de fulgurantes destinées..

Source Enquete sur l’histoire n° 3 été 92 . Les aventuriers du XXeme Siecle : Lawrence d’Arabie . le Mystere dévoilé.



 

PRISE DE DAMAS EN 1920 PAR LE GENERAL MARIANO GOYBET
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lawrence d'Arabie a fait l'impossible pour que les arabes libèrent eux mêmes la Syrie afin de mettre les alliés devant le fait accompli.
En vain...

Voir également     Site Goybet Actu // Syrie-USA ( Présentation et panorama du site)

                                       Strasbourg à Prise de Damas (récit du général Goybet) 

                                                       Prise de Damas : Récit - Press



A la conférence de San Remo, réunie en Avril 1920, les puissances décidèrent d'attribuer à l'angleterre le mandat sur la palestine, et à la Françe, celui de la Syrie et du liban.

Le haut commissaire disposait donc de sa force armée et de l'espoir que son pays demeurerait dans les lieux; il résolut d'agir contre l'émir Faycal.

Un ultimatum à l'émir est envoyé le 14 Juillet 1920 devant sa duplicité. Faycal tergiversa 6 jours .
Les troupes sous le commandement du General Goybet partirent excecuter les menaces de Gouraud à Faycal.

Goybet disposait d'environ :

-10 bataillons d'infanterie (415 RI,2e RTA,10e RTS,11e RTS
- 6 escadrons de cavalerie (1er RSN 1ER RCI )
- 1 batterie de 155, 4 de 75, 2 de 65
- Génie 1 compagnie
- Chars d'assaut 1 compagnie
- Une section d'auto canons
- Une section d'auto canons et auto mitralleuses
- Aviation escadrille divisionnaire n°8 et la disposition des missions du groupe de bombardement de l'armée.

Les effectifs chérifiens sont les suivants
- 1300 hommes avec 8 canons pres de Medjel and-jar
- 1800 réguliers et bedoins avec 3 canons à Khan meisseloun et aîn Djedeidé
- 1800 Hommes avec canons vers voie férrée de Damas.

Témoignage de louis Arros lieutenant colonel dans le monde Juillet 1975.

Le feu vert de l'opération fut donné le 24 Juillet
au petit jour .

Plusieurs milliers de chérifiens guettaient l'adversaire depuis les hauteurs ou ils s'étaient retranchés. Ils étaient plaçés sous le commandement du ministre de la guerre Youssef Azme Bey, ancien aide de camp d'Enver Pacha. Un brave, il se fit tuer sur place.

La division Française attaqua de front avec une puissante avant garde, les hauteurs de l'oued Zarzov (a sec), les spahis marocains debordèrent la gauche ennemie : la batterie de 155 prit position à l'entrée du défilé de l'oued Karn ( à sec) et à 5 heures du matin fit feu.

A 10h30 les sénégalais débouchaient des défilés . Les bidons étaient vides. Azme bey avait été tué

Les chars étaient entrés en action patinant sur les roches . Une section de trois parvint à la crête accompagnée par une petite compagnie de Fantassins du 415 eme dont le capitaine Klaplenstein.

Les chérifiens lachèrent pied laissant des cadavres sur le terrain.

Les fourgons ennemis capturés étaient bourrés de patisseries écoeurantes , mais hommes et chevaux burent à leur soif.

Le chef de la mission Française à Damas survint accompagnant un officier Chérifien porteur du traditionnel drapeau blanc.

Le 25 Juillet 1920, les troupes Françaises étaient dans Damas, musique en tête, drapeaux déployés après avoir traversé les jardins de la ville ou murmuraient d'accueillantes sources fraiches.

L'émir avait fui . Nous avions 52 tués et 200 blessés.
.........
J'ai eu la curiosité de jeter un coup d'oeil sur une histoire des troupes du levant, publiée en 1931 à l'occasion de l'exposition coloniale.
Je n'y ai trouvé que 20 lignes se rapportant à ce fait de guerre cependant considérable car, enfin
un général pénétrant dans la mosquée des Ommeyades et disant " SALADIN, nous voici", c'était quelque chose d'assez inhabituel .

J'ai cherché le nomde l'auteur de cette luxueuse brochure : le chef de bataillon breveté De Gaulle, de l'état major des troupes du levant...
fin de témoignage

Annonce du comité central de Syrie.

"Apprenant la brillante victoire remportée par les troupes du général Gouraud et leur entrée à Damas; considérant que cet évenement libère la Syrie de l'oppression hejasienne et prépare l'instauration d'un gouvernement national avec le Mandat de la FRANCE
" adresse à monsieur Millerand , ministre des affaires étrangères, l'éminent chef du gouvernement Français, l'expression de sa profonde reconnaissance pour l'énergie avec laquelle , il a défendu les droits de la nation Syrienne; " remerçie le général Gouraud et ses troupes de leur héroique action pour la justice et la civilisation, et souhaite que cette victoire , qui témoigne de la bienveillance de la Françe vis à vis de la Syrie, resserre les liens d'amitié qui unissent traditionellement les 2 peuples "

Ordre Général n°22

Le general est profondement heureux d'adresser ses felicitations au general Goybet et aux vaillantes troupes : 415 de ligne, 2eme tirailleurs Algeriens, 11 eme et 10 eme tirailleurs Senegalais, chasseurs d'Afrique, regiment de spahi Marocains, batteries des groupes d'Afrique, batterie de 155, 314 Compagnie de chars d'assaut, groupes de bombardement et escadrilles qui dans le dur combat du 24 Juillet, ont brisé la résistance de l'ennemi qui nous défiait depuis 8 mois.
Elles ont inscrit une glorieuse page à l'histoire de notre pays .
Aley le 24 Juillet 1920
signé Gouraud.

Myriam Harry dans l'illustration du 21 AOUT 1920 dit ceci

" Le combat extrèmement acharné dura 8 heures dans le fameux défilé long de 6 kilometres .
les Chérifiens avaient barré la route par un mur garni de mitrailleuses, croyant empecher le passage des tanks, mais les tanks se sont glissés dans le ravin entre le mur et la montagnee et , passant dans le bled, ils sont montés à l'assaut de la crête suivis par les fantassins du 415 eme, les algériens et les Sénégalais marocains, lançés à tout galop, enveloppaient les positions d'un mouvement débordant.
Et de la haut pleuvaient les obus, cinglait la mitraille. Plusieurs heures les tanks sont restés face à face avec les batteries et c'est seulement quand ils réussirent à mettre le feu aux caisses de munitions que les chérifains lachèrent pied et s'enfuirent désemparés completement par la mort du ministre de la guerre Asmy Bey, tué à son poste par un éclat d'obus..............

Un colonel commandant les arrieres gardes nous donne encore quelques détails.
Quand l'armée en déroute est affluée vers Damas,
le désarroi était absolu . L'émir Faycal et son frère s'étaient enfuis. Hier soir est arrivé ici le nouveau ministre de la guerre, déclarant au général Goybet que la ville était à sa merçi et n'opposait aucunne résistance à ses troupes.

Le général Goybet veut qu'on enterre Asmy Bey avec les honneurs militaires. "ce fut un remarquable officier Turc. Si vous aviez vu ses positions, organisées comme les notres, avec des batteries, des tranchées et reliés aux postes de combat par des fils téléphoniques! On se serait cru à la grande guerre. D'ailleurs tous les canons, tous les équipements venaient de chez les Boches, et toutes les caisses de munitions portaient l'inscription : Munitionen fur die Turkei...."

(Le témoin plus loin a rattrapé les troupes du general Goybet.)

NOus sommes arrivés à temps. Des 2 cotés du Barada se développent les troupes Françaises, les premieres troupes européennes qui soient jamais entrées dans la capitale des Ommiades - Les croisés l'ont assiégée en vain - et devant l'ancienne caserne turque , le conquérant de Damas, le général Goybet à cheval, regarde halé et rayonnant, défiler son armée victorieuse.

Ci joint témoignage du general Mariano Goybet dans ses carnets de campagne, commandant de la 3 eme division d'infanterie de l'armée francaise du Levant.



L'oasis de Damas s'étale devant nous . Dans la blonde transparence de cette soirée d'été, les milliers de toits en terrasse, les innombrables minarets se teintent d'un rose doré, sous les derniers rayons du soleil qui se couche derriere nous. Tout autour, sur des kilometres de profondeur, c'est l'infini moutonnement de sombres frondaisons des fertiles jardins qui font à la "perle de l'orient" la "ceinture d'emeraude"chantée par les poêtes arabes .

Vers le Sud , une chaine de collines teintées de toutes les nuances du bleu, limite notre vue du côté du Hauran; vers l'est, l'horizon plus lointain s'estompe vers les avancées du désert de SYRIE, dans une brume transparente ou dominent les violets exquis et des mauves délicats . Nous restons muets devant la beauté du spectacle et nous jouissons avec ferveur du calme impressionnant qui nous entoure.
....

IL semble invraisemblable qu'hier encore ce fut la rude journée de combat , l'assaut forcené des lignes chérifiennes, la sanglante victoire de Khan Meiseloun.

 

Prise de Damas en 1920 par le général Goybet : Récit d'Henri Goybet ; Presse du Monde et reportage de l'Illustration

                         https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Edward_Lawrence